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TÉMOIGNAGE ASSOCIATION :
VISIBILITÉ ET ADHÉSIONS

logo agence Jive Squad
Qui ? Michel Girard
Fondateur et enseignant
Objectif ? Développer la visibilité et le recrutement d'adhérents.

 
Mr Girard, quel est votre rôle au sein de Vierzon Shotokan ?

Je suis le fondateur et un des 4 enseignants.

C'est un grand club ?
Grand par la qualité, bien sûr. Nous avons formé de nombreuses ceintures noires, dont certaines sont aujourd'hui 4ème Dan. Mais par le nombre aussi. Nous accueillons actuellement 200 licenciés de tous les ages.

Mais un site communicant, ce n'est pas réservé aux ministères et aux multinationales ?
Je suis certain que certains ne sont même pas équipés ... Non, quand on en a parlé en interne, nous étions tous d'accord que le gain de visibilité était important pour la pérennité du club.

Ce n'est pas une question de taille de société mais de besoin de communiquer. Le Karaté n'est pas encore une discipline olympique et c'est plus dur pour nous de recruter des jeunes que pour d'autres sports. Même parmi les arts martiaux, il y a beaucoup de concurrence et beaucoup d'alternatives, surtout avec le Judo et ses champions célèbres.

Pour nous, il y a 2 manières d'attirer de nouveaux membres : les démonstrations et Internet. On a les kimonos pour les démos et le site pour le reste

Quelques-uns de nos prospects sont très intéressés par notre offre mais ont peur de manquer de contenu. Que pourriez-vous leur répondre ?
Peut-être que dans les plus grand groupes, les responsables de la communication ont moins de contact avec les clients et le public.

Pour nous, c'est très simple. Quand nous faisons venir un grand maitre pour un stage, c'est important que tout le monde le sache. Quand nous organisons des stages de congés scolaires, on a besoin de réunir le plus de participants possibles pour justifier les coûts des salles. On communique aussi sur les règles du karaté, sur le calendrier des compétitions, le système de grades ...

Une actualité PR Rooms du club de Karaté Vierzon Shotokan

Quand on aime son activité et qu'on connait son public, il y a toujours plus d'informations à partager que ce qu'on a le temps de faire.

Les journalistes locaux apprécient ce travail ?
Ca les a surpris au début. Ils étaient impressionnés et nous ont pas mal chambrés. Mais maintenant ils adorent travailler de cette manière. Ils se déplacent prendre leurs propres photos aussi souvent qu'ils le peuvent, mais ça leur facilite la vie de pouvoir trouver tout en ligne dans le cas contraire.

Pourquoi pas une page Facebook ou un blog gratuit ?
Nous avons une page Facebook : elle a 3 fans ! Facebook, il faut passer sa journée dessus pour faire avancer les choses. Nous n'en avons pas le temp. De plus, nous voulons être chez nous là où nous communiquons, pas sur un site piloté d'un autre pays. Si les règles changent et qu'on a mis tous nos oeufs dans la page facebook, il faut repartir à zéro. C'est pour ça que les PME ne sont pas sur Facebook. C'est trop risqué d'y consacrer tout son temps.

Et nous avons déjà eu un site sur une plateforme gratuite. Il fallait constamment ajouter des modules, rappeler l'informaticien, il y avait toujours des plantages, les mails ne partaient pas ... Personne chez nous n'avait envie de reprendre en charge cette galère. On a des tatamis professionnels au sol et un site professionnel en ligne. Les arts martiaux ne tolèrent pas vraiment l'amateurisme, je suppose.

Comment avez-vous rencontré PR•ROOMS ?
Karim (Sifouane) est un de nos plus anciens membres. Il nous avait envoyé leur communiqué de soutien au Sidaction. On s'est dit que s'ils travaillent avec des associations, ils ont l'habitude de contextes similaires au notre.

Vous êtes contents ?
Super contents. Notre métier, c'est le karaté, pas la communication. Un outil super simple qui gère les site internet, les relations presse, la revue de presse, les envois de mail, les newsletters ... c'est vraiment ce qu'il nous fallait. Au bout de quelques mois, les premières adhésions spontanées sont arrivées après nous avoir trouvés en ligne et tous nos nouveaux adhérents de l'année nous ont trouvés grâce à nos publications. Ca nous a vraiment motivés pour continuer.

Conseillerez vous les solutions PR•ROOMS à des structures comme la vôtre ?
Oui bien sur sûr. Toute structure, qu'elle soit une association ou une TPE/PME a besoin de clients ou de licenciés pour vivre. Le fait d’attirer spontanément des internautes pour les transformer naturellement en client est un aubaine. Le tout sans effort particulier que de communiquer par du contenu qui passionne. Donc oui PR•ROOMS dans hésitation.